Diplôme helvétique en poche, un étranger sur deux reste en Suisse
Neuchâtel, le 28 juin 2018. Près d’une personne sur deux venant de l’étranger, qui obtient un master d’une institution d’enseignement supérieur helvétique, est toujours présente en Suisse deux ans après avoir terminé ses études. C’est un des principaux constats d’une étude du « nccr – on the move », une parmi la vingtaine de projets de longue haleine qui constituent ce pôle de recherche national sur la mobilité et la migration piloté par l’Université de Neuchâtel. Le « nccr – on the move » célèbre vendredi ses quatre premières années d’activité pour lesquelles il avait reçu un soutien de 17,2 millions de francs du Fonds national suisse de la recherche scientifique. Il entame dès à présent sa deuxième phase d’activité de quatre ans.
